« Retour de Bakonga au Sénat : la fratrie divisée », titre CONGO NOUVEAU qui évoque une lettre de Bakonga lue en plénière par le président du Sénat demandant de retrouver son siège à la chambre haute. Ce que refuse son frère laissé comme suppléant, Reagan Bakonga. Ce dernier, poursuit le tabloïd, estime que son frère a perdu le mandat, faute d’avoir écrit en dehors du délai prévu par la loi.

A ce sujet, LA PROSPERITE lance que « le malheur ne vient jamais seul », alors que Willy Bakonga est en voie d’être extradé au Congo-Kinshasa, par les services de sécurité du Congo d’en face. Et au tabloïd de rappeler tout de même qu’« avant de traverser par pirogue sur l’autre rive du fleuve Congo, ce fugitif avait pris la précaution d’adresser une correspondance au Bureau du Sénat en vue de solliciter son réintégration au sein de cette institution ».

« Willy Bakonga : une tricherie de trop ! », s’exclame LE PHARE qui indique que la famille Bakonga émarge quatre fois dans le budget de l’Etat. Le journal qui traite Willy Bakonga de « génocidaire intellectuel, ennemi numéro un de la gratuité de l’enseignement de base » « en quête maladroit d’immunités » et appelle le parquet général près la Cour de Cassation de l’auditionner en procédure de flagrance et transmettre rapidement son dossier devant la juridiction compétente afin qu’il subisse la rigueur de la loi.

Entretemps, dans un autre chapitre, le nouveau gouvernement au sein duquel Bakonga n’a pas été reconduit comme ministre, n’a pas encore été investi à l’Assemblée nationale à cause sans doute du mécontentement affiché par un groupe de députés. Ainsi, le site d’informations 24SUR24.CD annonce les députés nationaux de l’Union sacrée seront reçus ce 23 avril par le premier Ministre Sama Lukonde à l’hôtel du Fleuve à Kinshasa. Aucun ordre du jour n’est dévoilé, ajoute le média.

Pour finir, L’AGENCE CONGOLAISE DE PRESSE annonce que le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, est annoncé à Djamena au Tchad, ce vendredi, pour participer aux obsèques du président Idris Deby décédé mardi, sur la ligne de front, dans des combats contre des rebelles dans Nord de son pays.

Socrate Nsimba


(SNK/Yes)