L’AGENCE CONGOLAISE DE PRESSE (ACP) qui ouvre le bal, annonce dans sa livraison de ce matin que le Premier ministre belge, Alexandre De Croo, a exprimé son soutien aux réformes opérées en RDC visant à améliorer la vie et le bien-être du peuple congolais, au cours d’un entretien téléphonique, le premier qu’il a eu samedi, avec le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo depuis sa prise de fonction en tant que chef du gouvernement fédéral, a indiqué l’entourage de M. De Croo.

Selon la source, le Premier ministre et le président Tshisekedi ont discuté de la situation de leurs pays respectifs sur différents plans. La République Démocratique du Congo est « un partenaire important pour la Belgique a niveau bilatéral comme multilatéral », a souligné l’entourage du Premier ministre.

Dans le chapitre purement politique, CONGO NOUVEAU titre : « Vers une rencontre Fatshi –J.Kabila ». Le trihebdomadaire estime sur la foi des analystes que les deux personnalités devraient se rencontrer dans les jours qui viennent et que la coalition devrait survivre à cette crise, mais elle connaîtra quelques retouches en ce qui concerne son fonctionnement. A moins que, précise le journal, le chef de l’Etat congolais et son entourage aient travaillé dans le silence pour faire basculer la majorité au niveau de la chambre basse du Parlement.

« Dossier FEC :  le Conseil d’Etat signe un scandale », titre AFRICA NEWS à propos de l’annulation de l’élection à la présidence du Conseil d’administration de la Fédération des entreprises du Congo (FEC) tenue le 26 novembre 2020 et remportée à l’unanimité par Albert Yuma. Cette instruction consécutive à la requête introduite par Dieudonné Kasembo « vient de très loin, selon le journal, surtout quand on sait que la FEC avait déploré l’ingérence de la présidence dans les affaires d’une ASBL.

L’AVENIr pour sa part rapporte que Barnabé Milinganyo Wimana a été condamné à trois ans de prison ferme pour menace de mort et offense au chef de l’Etat et va interjeter appel au lendemain de cette condamnation.

Le journal poursuit en disant que le Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme (BCNUDH) condamne la montée de la violence verbale ainsi que les menaces de mort dans les discours politiques.

Gisèle Mbuyi


(GM/SNK/Yes)