Concrètement, la prise quotidienne de cachets par les malades va être remplacée par une injection de deux antirétroviraux par mois, ou tous les deux mois.

Une amélioration considérable de la qualité de vie des personnes malades du VIH. « Cela signifie qu’au lieu de pilules quotidiennes, les patients reçoivent des injections intramusculaires tous les mois ou tous les deux mois » selon un document rendu public.

Ici, tout comme les thérapies actuelles, cette nouvelle méthode de thérapie va permettre de bloquer la capacité du virus à se répliquer.

Même si ce n’est pas encore un traitement, souligne le document, cela  permettra de guérir la maladie, il s’agit ni plus ni moins d’une petite révolution et d’un pas de plus dans la lutte contre la maladie.

Gisèle Mbuyi


(GMM/PKF)