« Pour venger la mort d’un de leur tué dans un accident de circulation, des conducteurs de moto incendient un bus à Mont Ngafula », alerte FORUM DES AS qui décrit dans son article qui porte ce titre : « Un conducteur de moto, communément appelé " Wewa " et sa passagère, cognés par un bus en provenance de la localité de Lufu sont morts sur le coup. L'accident a eu lieu hier lundi 4 novembre au niveau de la commune de Mont-Ngafula. En représailles, rapporte le bourgmestre de la commune de Mont Ngafula, Tryphon Wobin, cité par l'ACP, les autres Wewa ont mis le feu au bus qui a percuté leur camarade. Le bus et toutes les marchandises ont été calcinés ».

« La récurrence de la justice populaire met à nu le déficit  du dispositif sécuritaire à Kinshasa ». LE POTENTIEL qui s’intéresse aussi à ce dossier propose ce titre, tirant la sonnette d’alarme dans l’article ainsi titré : « Quand de jeunes gens peuvent avoir le temps de piller un bus de transport en commun avant de l’incendier en pleine ville de Kinshasa, c’est qu’il se pose un problème sécuritaire dans la capitale congolaise ».

Il estime : « Toutefois, il est temps de sécuriser Kinshasa de manière à dissuader tous les apprentis bandits qui s’avisent régulièrement à troubler l’ordre public ». Pour notre confrère, il est donc impératif de doter les forces de police des moyens adéquats et suffisants afin qu’ils sécurisent la capitale de la RDC.

Dans un autre article relatif à ce sujet dont le titre est : « Kinshasa, le général Sylvano Kasongo plaide en faveur des mesures de sécurité pour discipliner les motocyclistes », LE POTENTIEL écrit : « Le général Sylvano Kasongo reconnaît que les Wewas aident les Kinois dans la mobilité », mais déplore « leur comportement sur le terrain qui commence à gêner.

L’AVENIR pour sa part, dans son article intitulé : «Eviter le pire : pour une réglementation des « WEWA »,  propose des solutions à ce problème d’insécurité causé par les motocyclistes, en relevant entre autres : «Pour une capitale totalement urbanisée avec des moyens de transport insuffisants, la moto a encore des longs jours. C’est question, estime-t-il, de réglementer le secteur  pour les empêcher de faire la concurrence déloyale aux taxis, taxi-bus et autres ».

A propos de l’affaire du meurtre par un membre de la garde rapprochée du ministre provincial de  Kinshasa du l’Administrateur du centre médical  Vijana,  « APK : Makombo échappe à la suspension ! », s’exclame LA PROSPERITE. 20 Députés contre. 18 Députés pour. Tel  est, enfin, le résultat du vote enregistré, lors de la plénière d’hier, lundi 4 novembre 2019,  tenue sous la férule de  Godé Mpoyi, à l’Assemblée Provinciale de Kinshasa, signale ce journal qui précise par ailleurs : « Ainsi, jusqu’au prononcé du verdict,  Dolly Makambo Nawezi, Ministre Provincial de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières, a-t-il été maintenu dans ses fonctions ».

Toutefois, poursuit-il, sans préjuger de la décision des juges, ni interférer  dans le déroulement  du procès en cours devant la Haute Cour Militaire, les Députés Provinciaux, alors qu’ils n’ont même pas levé ses immunités, préfèrent plutôt  le laisser à la disposition totale de  justice.

Osée Badibanga, auteur de la question orale avec débat, se dit personnellement déçu et  dégoûté.  Comme quoi, Dolly Makambo  reste en résidence surveillée et répondra, de ce fait, à toutes les questions  des juges qui  sont, pourtant, victimes de la récusation de ses propres  Avocats.

LA PROSPERITE évoque en outre : « Des réactions enregistrées aussi bien de la famille de Belvis Nkuku, l’AG  abattu lâchement, du Mouvement de Libération du Congo dont il fut un des cadres, de l’Eglise du Christ au Congo que du Syndicat National des Médecins, continuent à exiger que Dolly Makambo, le policier tueur en cavale, le prétendu acquéreur de l’espace qu’occupe Vijana, le chauffeur et tant d’autres personnes impliquées soient jugés et condamnés,  conformément à la Constitution et aux lois de la République ».

« L’APK pour des poursuites judiciaires à l’encontre de Dolly Makambo ». Ce titre est celui du journal LE POTENTIEL.  La majorité des députés a estimé que l’assemblée provinciale de Kinshasa  va attendre le verdict de la justice pour tirer toutes les conséquences sur le sort à réserver au ministre provincial de l’Intérieur.

Deux articles sont consacrés à ce dossier par FORUM DES AS. Le premier porte le titre:« "Affaire Dolly Makambo" : le SYNAMED s’en mêle ». Le Syndicat national des médecins (SYNAMED) exige la démission pure et simple du ministre de l'Intérieur, sécurité de Kinshasa, selon ce journal.  Ce dernier signale que « Dans ses recommandations, le SYNAMED demande aux autorités provinciales de diligenter des enquêtes sérieuses pour "punir les exécutants et les commanditaires de cet assassinat ignoble".

Au cas où il ne serait pas satisfait, le bureau national du SYNAMED, sa branche de Kinshasa et d'autres organisations professionnelles, mènerait des actions de grande envergure pour faire attendre sa voix ».

Et dans un autre intitulé : « APK : les députés provinciaux rejettent la suspension de Dolly Makambo », ce journal explique que «Ce vote s'est déroulé sur initiative du bureau de l'Assemblée provinciale de Kinshasa après avoir reçu, la veille, un courrier du cabinet du ministre provincial de l'intérieur informant l'indisponibilité de Dolly Makambo suite à sa mise en résidence surveillée.

Le bureau a soumis la question à la plénière soutenant que le poste du ministère provincial de l'intérieur, de la sécurité et décentralisation ne doit pas rester vacant.

Cerné à la Haute Cour militaire, le ministre provincial Dolly Makambo Nawezi ne s'est pas présenté à l'hémicycle provincial pour répondre à la question orale avec débat lui adressée par Osée Tshilumba Badibanga sur l'insécurité grandissante à Kinshasa ».

En ce qui concerne la visite d’inspection du Premier ministre aux installations du stade de Martyrs de la Pentecôte, « Ilunga Ilunkamba visite le stade des Martyrs menacé de fermeture ». Le Premier ministre congolais Sylvestre Ilunga Ilunkamba a visité hier lundi 4 novembre, toutes les installations du stade des Martyrs. Accompagné du ministre des Sports et Loisirs, Marcel Amos Mbayo Kitenge et du président de la Fédération congolaise de football association (Fecofa), Ilunga Ilunkamba a tenu à inspecter cet édifice qui est dans le viseur de la Confédération africaine du football ( Caf), indique FORUM DES AS qui propose ce titre.

Pour ce journal, « il s’agit d’un  «Signal fort du premier ministre congolais ».

 « Vers la réhabilitation répondant aux exigences standardisées : Sylvestre Ilunga inspecte le Stade des Martyrs », annonce LA PROSPERITE.

« De l’aire des jeux jusqu’aux installations sanitaires en passant par les deux vestiaires et dans d’autres installations fixes, rien n’a été laissé au hasard. Il a été préconisé le renouvellement du tapis, soit poser la pelouse naturelle ou encore la pelouse hybride. Question de répondre aux exigences de la FIFA et de la CAF. Il a été aussi suggéré au Premier ministre la pose du tapis synthétique sur l’espace d’avant la sortie des joueurs de deux vestiaires pour leur réchauffement », selon ce tabloïd.

Boni Tsala


(BTT/PKF)