Augustin Tagisabo, chef de division du centre métrologie à la Mettelsat, a prevenu le public de la montée des eaux à caractère excédentaire de pluies de 20 millimètres, suite à de fortes précipitations attendues aux mois d’avril et mai sur toute l’étendue du territoire de la Rdc.

Ces eaux de pluies occasionneront des éboulements de terres, érosions ainsi que la montée des eaux, notamment sur les villes de Kinshasa, Kalemie, Kabinda, Lusambo, Ilebo, Mbuji-Mayi, Kananga, Tshikapa et Lubumbashi.

Cette situation est due à la pénétration de l’Océan Indien qui amène les allisées du Sud-Est et aussi la situation synoptique qui sont en train de se développer sur l’Océan indien qui pénétré le contient en traversant par le Sud de la Rdc, en commençant par Lubumbashi.

« Nous aurons la montée des eaux de pluies au mois d’avril, une période des pluies à caractère excédentaire. Il y aura l’excès de précipitations, la fréquence des pluies pour les mois d’avril et mai, car le mois d’avril c’est le mois le plus pluvieux  dans la première partie du semestre. Il y aura encore une deuxième partie de semestre le mois de novembre. Ce dernier sera aussi le mois le plus pluvieux particulièrement sur la ville de Kinshasa, à l’Ouest sommes dans la saison de pluie  et nous devons nous attendre à des montées des eaux, éboulement de terre, érosions sur certaines partie du  la ville notamment sur à Kinshasa, Kalemie, Kabinda, Lusambo, Ilebo, Mbuji-Mayi, Kananga, Tshikapa, ainsi la ville de Lubumbashi», a déclaré Augustin Tagisabo.

Il fait savoir en outre que cette situation trouve les conditions favorables au niveau de Kinshasa, « ça monte et sa traverse la ville de Kinshasa, ce sont des situations qui sont entrain de véhiculer sur l’ensemble du pays et sur la partie Sud du pays en donnant cette fréquence de pluie qui sont instantanées avec des intervalles », a-t-il signalé.

« Nous avons déjà enregistré les quantités de pluies élevées, la quantité de la précipitation peuvent atteindre au-delà de 20 millimètres d’eau sur la ville de Kinshasa », a-t-il conclu.

Safi Meta