« On n’a pas la situation de l’UNULU puisque l’UNILU n’a pas fourni beaucoup d'informations. On n’a pas la situation de l’UPN, et puis on n’a pas la situation de l’UNIKIN qui jusqu’à présent ne sait pas nous dire ce que nous devons faire. Nous sommes bloqués », s'inquiète M. Muhindo Nzangi.

Poursuivant dans la même optique, Muhindo Nzangi a souligné qu’il est difficile dans ces établissements d’avoir le nombre d’enseignants et des étudiants qu’ils encadrent, ajoute le ministre.

« Ce n’est pas normal. Je vois le secrétaire général académique de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) chez lui, c’est encore la catastrophe où je ne pouvais obtenir aucun document. État financier, on fuit il y a combien d’étudiants personne ne le sait. Il y a combien d’enseignants ici personne ne le sait. C’est vrai grave », a-t-il indiqué.

C'est depuis que vendredi le 10 septembre que les états généraux de l’enseignement supérieur et universitaire ont démarré à Lubumbashi. Ls participants réfléchissent sur le système éducatif et projettent l’avenir en vue de son amélioration pour répondre aux besoins de la société.

Raymond Okeseleke


(ROL/Yes)