L’information a été livrée par un officier militaire, sous le sceau d’anonymat de retour de cette zone, écrit l’Agence Congolaise de presse (ACP), qui selon ce dernier, cette découverte a été faite au cours d’une patrouille militaire de combat effectuée par les FARDC juste après l’inhumation, mercredi dernier, des corps de 30 otages exécutés par ces assaillants dont une femme enceinte et un enfant.

Il faut signaler que ladite découverte a suscité une peur énorme dans les esprits de la population qui croyait à la stabilisation de leur secteur. Et peu à peu, après avoir reçu la nouvelle, bon nombre de villageois ont commencé à vider le lieu et à chercher asile vers d’autres localités jugées sécurisées, selon la source de la société civile.

Gisèle Mbuyi


(GMM/PKF)