Ce haut fonctionnaire onusien  s’est dit profondément troublé par les graves atteintes au droit humanitaire, citant le cas de Mweso, où un bombardement dans un quartier résidentiel le 25 janvier a causé la mort de 19 personnes et blessé plus de 20 personnes.

Il a appelé toutes les parties au conflit au devoir de protection des populations civiles, lesquelles ne sauraient être la cible des combats et ont le droit de recevoir les secours appropriés.

Les conséquences humanitaires de l’intensification récente des violences sont alarmantes, selon OCHA, qui révélé qu’environ 8 000 personnes déplacées internes ont trouvé refuge près de l’hôpital de Mweso. Cette situation fait craindre le risque d’un nouveau drame si les combats s’intensifient à proximité de cette installation vitale qui doit être protégée, conformément au droit humanitaire.

Ilenda wa Ilenda