En effet, M. Jean-Pierre Mbumba Muanza est cité dans la séquestration des 5 jeunes filles majeures, 11 mineures et un bébé de deux ans pour des fins sexuelles, explique le communicateur de la PNC Boma, le commissaire Adolphe Wayiza. L’opération a été lancée le jeudi 22 juin 2023 par les éléments de la police qui l'ont trouvé en plein ébat sexuel avec une de ses séquestrées.


A en croire le communicateur de la PNC Boma, Adolphe Wayiza, « c’est une dame qui a reconnu le visage d'une fille de sa famille perdue depuis un long moment à Matadi. Arrivée sur le lieu, nous l'avons trouvé en plein viol sur une de ses séquestrées. Outre sa satisfaction personnelle, il se sert de ces filles pour la prostitution. Le dossier a été transféré au parquet, mais les victimes sont encore prises en charge par le centre médical de la police. Certaines ont avoué avoir été violées à maintes reprises. Le présumé violeur Mbumba Muanza Jean-Pierre n'est pas passé aux aveux, et rejette toutes allégations sur la séquestration et viols dont on le soupçonne », a relayé un média de la place.

 

Prévu pour le vendredi 23 juin 2023,  c’est aujourd’hui samedi 24 juin  que le tribunal de grande instance de Boma sera en audience de flagrance afin de constituer la partie civile suite à une exception.


Pour Seth Matondo, un habitant de Nzimuaka, ce présumé prédateur sexuel doit être jugé en flagrance pour séquestration, viols sur mineures et payer pour ces forfaits.


Gisèle Mbuyi