La Fédération des entreprises du Congo (FEC) a organisé lundi 27 novembre à Kinshasa, une assemblée générale ordinaire et élective à l’issue de laquelle Robert  Malumba a été élu président pour un mandat de trois ans, en promettant de représenter ses pairs.

Il remplace ainsi  Albert Yuma qui vient de totaliser 17 ans à la tête de cette structure.

Après son élection, le nouveau président de la FEC a relevé : « Je tiens à remercier tous les membres de notre  fédération qui ont participé à cette élection  et qui m’ont confié la charge de diriger notre organisation pendant trois ans, je suis honoré. Je suis déterminé à vous représenter  avec dignité  et efficacité.  Je veux également  remercier de façon  particulière les membres de la FEC qui ont soutenus ma candidature. La FEC est encore plus forte».

Il n’a pas oublié d’adresser ses remerciements au président sortant. « Je remercie mon prédécesseur pour le travail abattu et son engagement tout au long de son mandat », a-t-il reconnu.

Pour Robert  Malumba, la collaboration entre les entreprises privées et le gouvernement demeurent essentielles parce qu’ensemble, on peut créer des opportunités de croissance économique et de développement pour les entreprises privées.

En ce qui le concerne, Albert Yuma a expliqué qu’au cours de l’exercice 2022, le patronat congolais a poursuivi ses efforts de développement des activités entrant dans le cadre de la promotion des activités économiques des entreprises et la défense des intérêts de ses affiliés, précisant en outre que d’énormes efforts ont été consentis par la FEC  pour maintenir de bonnes  relations  avec les pouvoirs  publics à tous les échelons, notamment, le président de la République, le parlement, le gouvernement central, les gouvernements provinciaux, les services, les établissements et institutions publics.

La FEC, a-t-il rappelé,  a organisé plusieurs activités, entre autres 8 sessions de  formation et d’information au profit de ses membres sur diverses matières; 3 visites d’entreprises et 3 missions  économiques à l’étranger.

Boni Tsala