« Pénurie de la farine de maïs : Kamerhe confirme la main noire », titre L’ AVENIR. Il ne fait l’ombre d’aucun doute qu’une main noire a influencé la livraison, mieux la vente de la farine de maïs à la population congolaise, selon ce journal qui poursuit : « Le souci pour ces hommes d’affaires véreux était d’affamer la population pour que celle-ci se soulève contre le gouvernement Sama Lukonde ».

Cette confirmation, dit-il, a été faite par Vital Kamerhe, Vice-ministre et ministre de l’économie lors d’un briefing press.

LE POTENTIEL titre pour sa part: «le gouvernement mise sur la diversification de la production ».

Ce journal rapporte que « La diversification de la production. C’est la réponse structurelle du gouvernement de la République pour faire face à la crise du maïs dans les espaces Grand-Kasaï et Grand-Katanga ».

Dans la foulée, écrit-il, l’Exécutif national est bien à l’œuvre pour assurer la souveraineté alimentaire du pays par un accroissement significatif de la production locale et une substitution intelligente des importations ».

Toujours à ce sujet, FORUM DES AS qui titre : « Le gouvernement allège les charges des producteurs locaux », relève que l'Exécutif va accompagner les importateurs locaux de la farine de maïs et du maïs en grain avec une commande symbolique pour accroitre l'offre disponible et répondre dans l'immédiat à la demande urgente et pressante de cette denrée.

Durant six mois, tous les droits, taxes et redevances sur l’importation de maïs sont suspendus afin d’inciter les importateurs locaux à accroitre leurs volumes d’importation, signale ce journal indique que « Pour juguler la crise née de pénurie de la farine du maïs dans les espaces Grand Katanga et Grand Kasaï, le gouvernement a pris une série de mesures. En premier lieu des mesures urgentes destinées à soulager les besoins urgents en approvisionnement, et en second lieu, celles structurelles visant à améliorer la production locale et régler ainsi le problème dans la durée. Le Vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, citant le ministre de l’Economie qui poursuit-il, a expliqué les stratégies mises en place par le gouvernement au cours du briefing presse qu’il a co-animé hier lundi 15 mai avec le ministre de la Communication et Médias, Patrick Muyaya.

Au sujet de l’accord signé entre la RDC et le Rwanda pour le rapatriement de leurs refugiés respectifs,  « Kinshasa et Kigali d’accord pour le rapatriement des réfugiés », annonce LE PHARE. La République démocratique du Congo et le Rwanda sont parvenus  à un énième compromis, hier lundi 15 mai 2023 à Genève en Suisse,  pour le rapatriement volontaire de leurs refugiés respectifs.  C’est le lieu de rappeler que les principaux obstacles au retour des réfugiés congolais et rwandais dans leurs patries d’origine ont toujours résidé dans leur identification, leur dénombrement ainsi que e principe du volontariat, note notre confrère.

« Genève : la RDC, le Rwanda et le HCR s’accordent pour le rapatriement des réfugiés congolais et rwandais », selon RADIO OKAPI.NET.

Pour ce dernier, « Il s’agit aussi de relever les défis liés à la sécurité des personnes rapatriées, à l’échange d’informations sur les conditions de vie dans les zones de retour ; y compris la sensibilisation au niveau communautaire, ainsi qu’à la réintégration ».

« Les deux pays à s’engagent aussi à tenir à Nairobi dans un délai d’un mois à compter de lundi 15 mai, une réunion technique pour deux objectifs, indique ce média qui souligne :

définir les modalités pratiques pour la réactivation de tous les engagements et des structures contenus dans les Accords tripartites de 2010 et développer une feuille de route globale y relative.

relancer le processus de facilitation du rapatriement volontaire des réfugiés congolais au Rwanda et des réfugiés rwandais en RDC, selon les principes directeurs et modalités déjà souscrits dans le texte des Accords tripartites de 2010 ».

Boni Tsala