Devant le représentant du ministre a.i. du Plan, des partenaires tant techniques que financiers, le secrétaire exécutif national adjoint du Pnmls, Dr. Bernard Bossiky a indiqué que ce plan est un document de qualité, document de politique nationale, document de souveraineté en lien avec le Plan stratégique national de développement.Et dans ce travail, l'approche qui a été utilisée est participative et inclusive .Dr. Bossiky a présenté à l'assistance d'une façon abrégée  le plan stratégique national de riposte contre le VIH/Sida en relevant quelques indicateurs et situations épidémiologiques.Il s'avère que les efforts ont été menés dans la réduction de risque de contamination au VIH/Sida.Mais d'autre  part, il y a  la réduction de la charge virale,le statut sérologique, la réduction des stigmatisations,  l'accès à plus des financements , mobilisation des ressources internes qu'il faudra tenir compte pour arriver à des résultats positifs.Le secrétaire exécutif national adjoint du Pnmls a également relevé que la couverture du système sanitaire pour ce Plan est évalué à 2.125.458.921 milliards de dollars.Il a en outre précisé que le Plan stratégique est accompagné d'un cadre des performances.Par ailleurs, il s'avère qu'il faut que chaque ministère de dote d'une feuille de route pour la mise en œuvre du plan stratégique et chaque province devrait avoir aussi leur Plan.Le secrétaire général au Plan, représentant son ministre, Daniel Epembe Mosango a  quant à lui signifié que ce Plan constitue une réponse au VIH/Sida en Rdc.Il a reconnu l'engagement sans faille du chef de l'État, Félix Tshisekedi en faveur de la lutte contre le ViH/Sida."Et cet engagement appelle un  accompagnement  ferme", a dit en substance, le SG du Plan.Il a également fait part de  quelques avancées réelles. "Mais,  la lutte n'en est pas encore  à son terme", a souligné l'homme du Plan.Daniel Epembe a aussi salué  le leadership fort et appui sans cesse du Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde à amener des actions planifiées de lutte contre le Sida.Pour lui, le Plan 2023-2027 se doit de servir de support à toute action dans le domaine de la lutte contre le ViH/Sida avec la vision du chef de l'État et l'ensemble de document de planification.Cet atelier constitue pour le ministère du Plan, un moment très important dans la définition  de la trajectoire en matière de lutte contre le ViH/Sida et le  ministère du Plan ne ménage aucun effort pour soutenir cette démarche afin de doter la Rdc d'un document de haute stratégie pour la riposte au VIH/Sida.Soulignons que cet atelier de deux jours connait également la participation des experts venus des provinces de la RDC et Il est rendu possible grâce au financement tant technique que financier des partenaires comme le Pnud, l'Unfpa, l'Onu Sida, l'OMS, le Fonds mondial, l'Unicef...Gisèle Tshijuka