Avec Liz Ahua, représentante du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), il était question d'expliquer à Mme la ministre d’Etat, ministre de la Justice le travail du comité interinstitutionnel de lutte contre l’apatridie. « Jusque-là, on s’est entretenu au niveau stratégique pour expliquer c’est quoi l’apatridie et comment est-ce que nous souhaitons que le gouvernement nous accompagne ».


« Le HCR avait l’espoir de pouvoir mettre fin à la question d’apatridie. Je suis fière que la ministre d’Etat et ministre de la Justice qui nous soutient et l’engouement avec lequel elle prend à cœur ce problème », a-t-elle conclu.


Pour sa part, le représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’ONU, Kassim Diagne, a fait le point avec la ministre d’Etat sur des aspects judiciaires et pénitentiaires.


« Nous avons fait des progrès et des avancées énormes. La discussion que nous avons eue avec Mme la ministre est de voir dans quelle mesure nous allons accélérer la cadence. En tout cas, je repars entièrement satisfait après cette séance de travail », a-t-il précisé.


Gisèle Tshijuka