« UDPS divisée », titre L’AVENIR qui rapporte que les fédérations de Kinshasa et de Lubumbashi soutiennent Kabund, celle de Kolwezi ou encore les Forces du Progrès réclament sa démission.

Le journal estime que cette « vraie-fausse démission » de Jean-Marc Kabund aura été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. « Une attitude qui, pour certains, frise la trahison. »

Lentement mais surement, l’inimaginable mêlée à l’impossible est sur le point d’atterrir sur la sphère politique RD. Congolaise, sous l’ère des héritiers du combat du sphinx de Limete. Jean-Marc Kabund-a-Kabund, celui à qui les combattants de l’UDPS ont collé le sobriquet ‘’maitre-nageur’’, n’a presque plus ses forces d’il y a une semaine et demie pour tenir face au vent coulis qui le secoue dans tous les sens, aussi bien au sein de sa famille politico-biologique de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) que dans l’Union Sacrée de la Nation.

Mike Hammer déballé, titre AFRICA NEWS qui cite un article de quatre pages, cosigné par des journalistes d’investigation reunis au sein de l’association Afrique Investigations.

Le trihebdomadaire poursuit qu’un portrait peu flatteur de l’ambassadeur américain en RDC sur son « rôle ambigu et ses agissements inappropriés dans la marche des affaires politiques à Kinshasa.le journal y voit les raisons de « l’acharnement » de « Nzita » contre certains compatriotes congolais.

ECONEWS ajoute que Mike Hammer a mis en place un réseau, jusqu’à entraîner les dirigeants congolais dans des projets sans lendemain. « Pour couvrir ses chimères, le diplomate américain a décidé de décharger sa colère sur les anciens dignitaires du régime Kabila, en mettant en place une machine de répression depuis l’Inspection Générale des Finances (IGF).

CONGO NOUVEAU lui revient sur la décision de la Haute cour militaire qui a rejeté la demande de comparution de Joseph Kabila dans le procès Chebeya. Pour le trihebdomadaire, les activistes de la société civile ont encore loupé l’ancien chef de l’Etat dans cette affaire. Allusion faite aux 48 organisations et mouvements citoyens qui, dans une déclaration mardi, avait déclaré leur appui à la partie civile dans cette démarche.

Socrate Nsimba


(SNK/Yes)