Bintou Keita a relevé que cette projection aux élections 2023, représente une nouvelle étape critique dans le processus de transition démocratique, de consolidation institutionnelle et de stabilisation du pays.

« Le pays a déjà les yeux tournés vers les élections de 2023. Le processus électoral de 2023 représente une nouvelle étape critique dans le processus de transition démocratique, de consolidation institutionnelle et de stabilisation du pays. Les 33 prochains mois avant cette échéance électorale se présentent ainsi devant nous comme une route que nous devons emprunter ensemble avec le gouvernement et la population congolaise, en redoublant l’énergie et l’efficacité, de franchir les étapes et relever les défis qui se présenteront devant nous, enfin de poursuivre la consolidation de la démocratie du pays et de ses institutions, et d’avancer vers la stabilisation de l’Est et les réformes nécessaires à cet effet » a-t-elle déclaré

S’agissant de la formation du gouvernement de l’Union sacrée, la diplomate onusienne a affirmé que le Premier ministre Sama Lukonde l’a soufflé que la préparation des élections 2023 constitue également l’une des priorités du gouvernement.

« Conformément à la volonté du président Tshisekedi, le premier ministre désigné Monsieur Jean-Michel Sama Lukonde m’a également indiqué que la préparation des élections de 2023 constitue l’une des priorités du gouvernement à venir », a-t-elle déclaré

Au final, il y’a lieu de préciser que les questions liées aux réformes électorales sont prioritaires durant la session ordinaire de mars ouverte depuis le 15 du mois en cours au Parlement de la République démocratique du Congo.

Raymond Okeseleke


(DNK/Yes)