L’information  a été livrée par des surveillants constitués particulièrement  des éléments de la police minière et des services d’investigations et enquêtes, selon l’ACP.

La source rapporte que ces deux groupes de bandits se disputaient le leadership pour le contrôle de la zone riche en graviers diamantifères  et interdite d’accès aux personnes étrangères à la société. Ces intrus munis d’armes de guerre et des calibres de fabrication locale délivrées par leurs sponsors, ont la gâchette facile et exigent de l’argent aux creuseurs clandestins qui souhaitent exploiter dans le site minier de la MIBA.

Ces inciviques bénéficient de la complicité des travailleurs en service ou ceux déjà limogés pour avoir été impliqués dans la soustraction des graviers déjà lavés.

Et, c’est  depuis quelques semaines, que le crépitement d’armes à feu, a repris avec force dans ce polygone privé de la MIBA, après plusieurs mois d’accalmie.

Gisèle Mbuyi


(GMM/PKF)