L’AGENCE CONGOLAISE DE PRESSE (ACP) rapporte, dans son bulletin, que le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu, mardi 15 septembre, la présidente de l’Assemblée nationale, Jeanine Mabunda Lioko, peu avant l’ouverture de la session ordinaire de septembre à la chambre basse du Parlement. Selon le service de communication de la presse Présidentielle, les échanges entre les deux personnalités ont tourné autour de la session ordinaire de septembre essentiellement budgétaire qui s’est ouverte ce mardi, écrit l’agencier.

Rentrée parlementaire : « Thambwe et Mabunda émettent sur une même longueur d’ondes », titre, de son côté, LE POTENTIEL. Le confrère de l’avenue du Bas-Congo renseigne que, comme le veut la Constitution, députés nationaux et sénateurs ont repris, depuis mardi 15 septembre, le chemin de l’hémicycle du Palais du peuple après trois mois de vacances parlementaires. Des vacances tout aussi particulières à cause de la Covid-19.

Quoi qu’il en soit, c’est le grand retour des activités parlementaires, commente LE POTENTIEL. Cependant, poursuit le confrère, « la session qui est constitutionnellement budgétaire, s’annonce être celle de tous les enjeux. A la clé, les réformes électorales ».

Pour sa part, L’AVENIR ajoute à sa Une : « Mabunda opte pour des lois à impact réel sur le social des Congolais ». Selon ce média, pour la présidente de l’Assemblée nationale, Jeanine Mabunda, la priorité de session ordinaire sera accordée à l’examen et au vote du projet de loi des finances de l’exercice 2021, « et qu’il revient au gouvernement de déposer au Bureau de la Chambre basse dans le respect des délais requis par la Constitution et la loi du 13 juillet 2011 relative aux finances publiques. »

En outre, elle démontre que le débat politique est loin d’adresser les préoccupations des Congolais qui attendent de leur classe politique dont leurs élus l’examen et l’adoption des lois qui ont un impact réel sur leur vécu quotidien, leur social, a-t-elle renchéri.

FORUM DES AS reste au parlement et titre : « Thambwe Mwamba pour les réformes électorales par le Parlement ». Pour le quotidien de la 11e rue Limete Industriel, il sied de constater que suite à ses mécontentements de la population, plusieurs initiatives sur les réformes électorales ont été prises par des acteurs politiques et des citoyens. Mais il est évident qu’aucune loi ne peut être votée en dehors des Institutions publiques, notamment l’Assemblée nationale et le Sénat où se tiennent par ailleurs les débats adéquats. « C’est donc ici et nulle part ailleurs », a-t-il insisté.

Gisèle Mbuyi


(GM/Yes)