« Est du pays : nouvelles consignes du chef de l’Etat contre les groupes armés ». Les responsables de différentes zones de défense  de la partie Est du pays vont bientôt recevoir par voie  hiérarchique, de nouvelles instructions pour le démantèlement et l’éradication des groupes armés.  LE PHARE qui propose ce titre, annonce que  ceux-ci  ont fait l’objet des échanges entre le Chef de l’Etat et Félix Antoine Tshisekedi, et les participants à la réunion du Conseil supérieur de la défense, qu’il présidée hier lundi à la cité de l’Union africaine (UA).

Toujours à ce sujet, L’AVENIR titre : « Problématique des groupes armés : Fatshi instruit FARDC ET PNC d’œuvrer en synergie ».La prolifération des groupes armés congolais et étrangers  e, mieux la marche de santé réalisée dernièrement par la milice CODECO n’a laissé personne  indifférente. Le Président de la République qui s’est engagé à mettre un terme à l’insécurité jusqu’à sa dernière goutte de sang, a présidé lundi en sa qualité de commandant suprême des Forces armées de la RDC (Fardc)  et de la Police nationale congolaise (PNC), la réunion du Conseil supérieur de la défense autour de la problématique des groupes armés qui sèment la terreur dans les provinces de la partie orientale du pays.

L’AVENIR, au sujet de la rencontre entre le coordonnateur du Front commun pour le Congo  et le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), titre : «Tête –à-tête Néhémie Mwilanya - Mgr Marcel Utembi ». Même si rien n’a filtré de leurs entretiens, on ose croire qu’il était question du rapprochement entre le FCC et l’Eglise catholique, écrit ce journal qui rappelle : « Il vous souviendra qu’en 2019, lors des travaux à Mbuela Lodge à Kisantu, dans la province du Kongo central, le FCC s’était réuni en présence du président de  la République honoraire Joseph Kabila , pour réfléchir sur sa défaite aux élections présidentielles  de 2018  et élaborer des recommandations pour rectifier le tir. Ici, note  L’AVENIR, il a été démontré que parmi les causes de l’échec,  il y avait entre autres  les mauvaises  relations avec  l’Eglise catholique.  Notre confrère considère : Cette puissante église du pays, et du monde couvre tous le territoire congolais et un simple mot d’ordre peut conduire  un candidat à couler ou de passer.

Et L’AVENIR de s’interroger : « Est –ce que l’Eglise catholique va-t-elle oublier tout ce qui s’est passé ? ». Possible, croit-il en même temps, d’autant plus qu’elle n’a cessé de prêcher le pardon.

Pour sa part, LE PAHRE qui s’intéresse à ce sujet titre : « CENCO –FCC : A quoi jouent les Catholiques ? ».  Il relève qu’ «Il  s’observe depuis quelques temps une activisme  trop prononcé des membres du staff de l’Eglise catholique romaine en RDC incarnée par la Conférence épiscopale nationale   du Congo et direction  de quelques acteurs politiques, lequel, dit-il n'a peur échapper à la curiosité publique".

De la visite du Secrétaire général de la CENCO l’Abbé Nshole, à Vitéal Kamerhe, à la rencontre d’hier entre Mgr Utembi et Mwilanya, en passant par une autre rencontre non médiatisée entre le Cardinal Ambongo et  Fayulu, il saute clairement aux yeux que quelque chose de suspect serait en gestation , estime LE PHARE qui invite : « Il est temps que les princes de l’Eglise disent à l’ensemble des Congolais pour qui ils roulent.

A propos de la réaction du gouvernement congolais suite aux propos de l’Ambassadeur du Rwanda en RDC au sujet du massacre de Kasika,  Affaire Karega  : « le gouvernement de la RDC promet des mesures sévères contre l’Ambassadeur du Rwanda ».

Le gouvernement congolais promet de prendre une série des mesures dans les prochains jours  à l’encontre de l’ambassadeur rwandais accrédité en RDC, annonce FORUM DES AS, dans son article qui porte ce titre. C’est hier lundi que le ministre de le la Communication cet des médias l’a annoncé au cours d’une émission de la Radio Top Congo.  Citant  le ministre Jolino Makelele, ce tabloïd souligne : « Nous pensons que les bornes ont été dépassées. Il ne faut pas assassiner les mémoires des Congolais. Ce que Vincent Karega dit n’est pas de nature à favoriser les bonnes  relations entre la RDC et le Rwanda.

Toujours à ce sujet, LE PHARE dénonce : « Massacre de Kasika : la gaffe de l’ambassadeur du Rwanda ». Le nouvel et controversé ambassadeur du Rwanda en RDC s’est cru en droit de réagir, dans son compte Twitter, aux propos d’un internaute  congolais  accusant son pays d’être responsable du massacre de plus de mille Congolais, le 24 août 1998, dans le village de  Kasika, dans le Sud- Kivu.  Ce journal déplore par ailleurs : « Banalisant ce triste épisode,  qui a pourtant laissé des plaies indélébiles dans les cœurs des millions de Congolais, Vincent Karega non seulement conteste ce bilan macabre, en le réduisant  à deux morts, mais surtout fait état d’une propagande  et d’une calomnie visant à discréditer gratuitement son pays ».

Boni Tsala



(BTT/PKF)