« Dans les missions assignées à notre commission par la FECOFA, il était question de mettre en application les critères sur les exigences sur les licences de clubs. L’année dernière était un moratoire, mais cette année, nous allons appliquer la loi sur les critères pour les entraîneurs en chefs et leur adjoints. Ceux qui ne vont pas remplir les conditions ne se mettront pas sur le banc », a indiqué devant la presse vendredi 16 août le secrétaire général de la Ligue nationale de football(LINAFOOT), Emmanuel Kande.

Le règlement du championnat national cette année indique qu’un entraîneur principal « doit être titulaire d’un diplôme d’entraîneur le plus élevé qui existe au sein de la Fédération Congolaise de Football Association ou tout autre diplôme étranger valide et équivalent, reconnu comme tel par la Confédération Africaine de Football ». Il doit également être titulaire d’un acte de reconnaissance de compétence, délivré par la Fédération congolaise de football association après avis favorable de la Direction technique nationale.

Par contre, l’entraîneur adjoint, lui, doit être « titulaire d’un diplôme immédiatement inférieur au plus élevé qui existe au sein de la FECOFA ou tout autre diplôme étranger valide et équivalent, reconnu comme tel par la CAF(licence B ou C UEFA/CAF), avoir évolué comme footballeur sous un statut professionnel dans un championnat reconnu comme tel durant cinq ans; être titulaire d’un acte de reconnaissance de compétence, délivré par la FECOFA.

L’exigence est encore plus grande pour un entraîneur de nationalité étrangère qui doit détenir un diplôme le plus élevé (UEFA Pro) ou l’équivalent, avoir une expérience d’au moins 3 ans dans un club professionnel de première division et faire homologuer son diplôme par la Fédération Congolaise de Football Association.

Socrate Nsimba


(SNK/Yes)