Selon le médecin directeur des cliniques universitaires, Nazaire Nseka, il n’y a pas des malades parce qu’il y a pas d’activités de dialyse, parce que le centre a connu une rupture des intrants.

« Lorsque les produits arrivent à l’aéroport, il y a des procédures pour pouvoir les dédouaner », a-t-il déclaré.

Il faut noter que le centre de dialyse de Kinshasa prend en charge une soixantaine de malades qui sont actuellement pénalisés par cette interruption. La facture de la douane tarde à être payé par le gouvernement de Kinshasa.

Le médecin directeur Nazaire précise que c’est le gouvernement provincial qui prend en charge les consommables importés, afin que les malades qui viennent en dialyse puissent avoir leur accès sans problème, mais un petit retard a été observé pour la fourniture de ces produits médical.

Informez de la situation, le nouveau locataire de l’Hôtel de ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila a pris la résolution de s’impliquer personnellement. Au niveau du gouvernement provincial, « le ministre de la Santé avait reçu l’ordre de les recevoir 48heures après s’être saisi du dossier » comme le confirme Nazaire Nseka. Il était question de s’imprégner pour qu’ensemble une solution soit trouvée.

Ce centre a été construit par l’Hôtel de ville de Kinshasa pour réduire la charge financière à la population et soigner les malades rénales.

Gisèle Mbuyi/MMC


(GM/SNK/Yes)