-« Le FFC demande à Bahati de tirer toutes les conséquences des décisions prises ». Le suspense est levé. Le choix de Joseph Kabila est validé par tous, et rien n’empêche à Alexis Thambwe Mwamba de prendre son fauteuil au présidium du Sénat le jour j, signale L’AVENIR qui propose ce titre.

En somme, indique ce journal, l’homme (NDRL Bahati) qui avait publiquement déclaré qu’il maintiendrait sa candidature au poste de président de la chambre haute du parlement, courbe l’échine et devra respecter le choix de l’Autorité morale du Front commun pour le Congo (FCC).

Toujours à ce sujet, LE LIBRE DEBAT titre : « Le duel Thambwe-Bahati évité ». Le soutien apporté par me groupe parlementaire AFDC–A à la candidature d’Alexis Thambwe Mwamba pour occuper le perchoir du Sénat, permet d’éviter de justesse le duel tant craint entre lui et Modeste Bahati, deux poids lourds de la plate-forme Front commun pour le Congo (FCC) piloté par Joseph Kabila, autorité morale  et ancien président de la République, note ce journal. Mais, ajoute LE LIBRE DEBAT, au FCC tout le monde pense que la perspective du duel entre Thambwe Mwamba et Bahati pour la conquête du perchoir du Sénat appartient au passé.

Au sujet des manœuvres entre le FCC et CACH » dans les cadre de la formation du gouvernement « Les points d’achoppement à l’épreuve de la médiation du Président togolais ». Ce titre est de notre confrère FORUM DES AS.

« Outre la clef de répartition des ministères de souveraineté, le camp FATSHI accuse les négociateurs du bloc kabiliste d'être eux-mêmes candidats! », révèle ce journal qui annonce que «C'est encore le statu quo dans les négociations sur la formation du nouveau gouvernement en RD Congo. D'ores et déjà, les négociateurs des deux camps se jettent la responsabilité du blocage ». 

Cependant, rapporte également FORUM DES AS, des sources contactées tard dans la nuit d'hier lundi, renseignent que la clef de répartition des ministères de souveraineté serait la principale cause du blocage des négociations entre le FCC et son partenaire CACH.

D'aucuns avaient pensé, non peut-être sans raison, que le Chef de l'Etat togolais, qui a effectué une visite de travail du 2 au 4 juillet à Kinshasa, allait finalement amener le FCC et CACH à aplanir leurs divergences. Hélas. La réalité est que les choses ne semblent pas toujours très avancées, s’indigne -t-il.

Négociateurs FCC –CACH, allez à l’essentiel », interpelle pour sa part L’AVENIR qui  note aussi que « Les jours passent et se ressemblent. Plusieurs dates avancées n’ont jamais été tenues. Mais le fameux 3 juin, cap infranchissable pour la publication de cette équipe gouvernementale est passé sans aucune annonce Voilà plus de 6 mois que les Congolais attendent le premier gouvernement de coalition FCC–CACH.

Au sujet de l’élimination de l’équipe nationale de la RDC aux 8èmes de finale de la 32ème coupe d’Afrique des Nations, dans son éditorial intitulé « En sport comme en politique ». RDC–Madagascar : polémique autour de l’arbitrage ». L’affaire tourne déjà mal, selon LE POTENTIEL.

L’arbitre du match Madagascar comptant pour les 8èmes de finale de la CAN 219, le Marocain Noureddine El Jaafari a gâché la fête des Léopards. Il a fait l’objet d’une critique de l’opinion sportive mondiale, car il était complaisant dans ses décisions tout au long du match qui au finish, a tourné au profit des des Barea aux tirs au but, signale ce tabloïd. Un arbitrage qui, déplore LE POTENTIEL, décrédibilise la Confédération africaine de football (CAF) qui portant, a fourni beaucoup d’efforts pour recycler ses officiels avant cette compétition.

Toujours à ce sujet, FORUM DES AS constate pour sa part: « Que de similitudes entre la politique et le sport! Dans les deux univers, seul le résultat dicte le commentaire. Dans les deux mondes, on brûle facilement ce qu'on a adoré hier et on adore facilement ce qu'on a brûlé hier », expliquant par en outre : « Depuis les deux défaites consécutives, synonyme ou presque de l'élimination, dès le premier tour, des Léopards de la CAN, Jean-Florent Ibenge n'a plus la cote. Mieux, il est voué aux gémonies, honni, ostracisé, blacklisté, diabolisé ...grandeur et décadence pour cet homme, qui il y a encore deux ans, faisait la fierté de l'expertise nationale. Descente aux enfers pour cet entraîneur que tout le pays portait au pinacle à chaque succès du Onze national ».

Il est déjà loin le temps où les Kinois, adeptes de la "religion" foot devant l'Éternel, scandaient "Ibenge coacher". Révolue l'époque -pourtant récente- où le sélectionneur national faisait figure d'icône dans le firmament du coaching, façon Vidinic.

Avec Ibenge, souligne notre confrère, ce sont tous les joueurs de l'équipe nationale qui se voient vomis par leurs adorateurs d'hier. Bolasie, Bakambu, Mputu...perdent au terme de deux matches, tout le capital sympathie engrangé au fil des victoires. Vae victis !

Il en est des sportifs comme des politiques. Qui eût cru que des pans importants de l'opinion éprouveraient une once de nostalgie pour les années Mobutu? Le même Maréchal- président que tout un pays avait chassé tel un pestiféré. Le même "Guide" qui, au faite de sa gloire, sortait de nuages comme un demi dieu. Comme quoi, la débâcle du Onze national charrie quantité d'alertes. Pas seulement pour les Léopards. En sport comme en politique, rien n'est définitivement acquis », conclut FORUM DES AS.

Boni Tsala T./MMC


(BTT/PKF)