«Monsieur le Président, nous avons l’honneur de vous rappeler que le Sénat entretient des comptes courants en nos livres qui renseignent des soldes débiteurs importants depuis plusieurs mois », peut-on lire dans cette correspondance.

La banque et le Sénat avaient arrêté de commun accord, en novembre 2016, les modalités de ces encours. Mais la Chambre haute n’a pas pu honorer ses engagements jusqu’au jour de la rédaction de la lettre. De quoi casser

-s'il y en avait besoin- l’image de gestionnaire rigoureux de l’ancien Premier ministre.

La banque, ainsi mise en difficulté, insiste sur la régularisation de ce dossier pour préserver l’épargne publique.

AfricaNews


(TN/TH/Yes)