Après 12 ans d’enquêtes, des recherches et de travail, l’UNFPA a publié les résultats des évaluations globales de lutte contre les violences sexuelles en RDC.

C’est une évolution de la part du gouvernement congolais, mais beaucoup reste à faire et c’est en mutualisant les efforts que la RDC peut parvenir à un meilleur résultat.

Dans le secteur de la justice, il y a aussi des améliorations surtout au niveau de la justice militaire. La lutte contre les violences sexuelles n’est pas un fardeau, mais plutôt un facteur de développement car elle permet d’améliorer le fonctionnement du système judiciaire, l’autonomisation de la femme et beaucoup d’autres aspects.

Pour le représentant de l’Unfpa, mieux vaut prévenir que de jouer au sapeur-pompier. «Nous avons des projets conjoints car, c’est en mutualisant les efforts que nous pouvons avoir des impacts les plus importants. C’est la prévention et les évaluations qui ont montré que nous devons investir beaucoup plus à prévenir plutôt qu’à jouer aux sapeurs-pompiers. A souligné le représentant de l’UNFPA.

Pour sa part, la représentante spéciale du Chef de l’Etat en matière de lutte contre les violences sexuelles promet de s’investir pour combattre ce mal. Elle a ajouté qu’il est important de réaffirmer le leadership du gouvernement qui doit faire plus pour s’assurer de l’efficacité de la lutte contre les violences sexuelles basées sur le genre.

La recommandation finale du gouvernement congolais, est la paix. Sans la paix, on ne pourra pas lutter effacement contre les violences sexuelle en RDC, mais aussi les transfères des connaissances par les organisations féminines aux jeunes filles; la femme ne veux plus se considérer comme une victime, mais plutôt comme une actrice de paix et du développement.

Sylvie Meta/MMC


(SM/GW/Yes)