Kinshasa, des jeunes sont de plus en swag, un phénomène observable même à l'école. Cela consiste dans le port de jupes courtes, et qu’un coup de vent peut facilement emporter. Des garçons sont en pantalon collant et peu commode. Cet accoutrement est si inadapté aux principes que cela traduit un manque du respect de soi. De fil en aiguille, les adeptes de ce style s’illustrent dans des coins de rues dans l’abus d’alcool. Des habitudes ont changé dans la ville de Kinshasa, des jeunes s’habillent actuellement dans un style qui choque les bonnes consciences. A l’école, à l'église et à la maison, des tenues vestimentaires sont de plus en plus en mode serre, peu commodes, abusant de la moralité. Ce phénomène a gagné le monde de l’ère de l’explosion les nouvelles technologies de l’information et de la communication.

Les jeunes sont tellement ouverts à des plates-formes de discussions via l’internet qu’ils veulent tout adapter et essayer. Aujourd’hui, même des tenues d’uniforme de bleu-blanc subissent des modifications pour la taille, la mesure et la forme. Un couturier dont l’atelier est établi à N’Djili, témoigne : " la jeunesse s'habille aujourd'hui en singeant passionnément de la musique internationale. C'est dire que leurs modèles, ce sont des artistes musiciens du monde. Ils ne respectent plus les normes en vigueur dans leurs établissements scolaires. Même le respect de soi et de l'autre dans la société est en forte baisse. « A présent, ils adoptent un style à la folie », a déploré un administratif d’une école. Si, pour des filles, la société a crié au phénomène « Ujana » voilà quelques mois, des garçons, eux, sont dans un style de folie.

Avec des pantalons Jeans coupés de partout, des sandales et- ketches en délabrement", constate un éducateur. Et de renchérir : en effet, maintes écoles ne contrôlent plus l’accoutrement des élevés à leur arrivée au sein de l’établissement, comme cela a été le cas jadis. En matière des tenues solaires, il faut que les gouvernants mettent en place une loi, d’autant plus que les règlements intérieurs des établissements s’affichent exilés à ce sujet. En ce qui concerne des jupes pour filles, la source ironise : « tout se passe comme si l’Armageddon annonce dans les Ecritures saintes serait déjà à notre portée. Personne ne veut observer la taille moyenne jusqu’aux genoux. Des enseignants ont l'air de vivre un monde coupe de celui des jeunes qu’ils encadrent. D’où, personne ne veut eut mot, chaque fois l’indique respecter des principes régissant la société.

Des filles sont souvent en swag, s’obligeant d’être en jupe-parapluie renversé, susceptible d’être recouverte par le vent, ou jupe serré au-delà, ne les empêchant même toute position accroupie indique l’éducateur su-évoque. Du swag en vogue dans des quartiers de Kinshasa, se traduisant par l'abus d’alcool et l’usage de petites drogues; Un swagger interrogé, répond en ces termes le mouvement de swag provient de l’Angleterre. En RDC, c’est avec des rappeurs et des jeunes d’afrobiz que ce dernier a pris ainsi une forme accidentée. Pour se confirmer swag, le jeune boit trop et chaque jour, utilise de petites drogues.

L'usage micrite d’alcool, du tabac et de petits stupéfiants susceptibles d’enivrer quelqu’un sont très courants actuellement et leur mot, chaque fois l’indique. Comme conseil, renchérit la source, la jeunesse doit faire preuve de maturité. Pour ce faire, il s'impose à lui d’acquitter un cerveau d’enfant qui l'expose à des influences à tout vent. Ce qui lui fait perdre souvent équilibre et liberté. A présent, que chacun sache que le swag a un temps ; mais la vie des jours avenirs ne devrait pas être gâchée à cause de la malfaisance et d’un comportement irresponsable observé actuellement. En ce qui les concerne, les parents sont appelés à appliquer des principes d'éducation familiale sans faiblir. Pendant ce temps, les jeunes doivent être sensibilisés à suivre des modèles. C’est au prix de cet effort qu’ils pourront participer à l’élévation de la RDC, plutôt que visiblement dérailler tel un bateau en naufrage.

Nzuzi Richard/L’Avenir 


(ROL/Milor/GW/Yes)