Depuis leurs créations, souligne le communiqué les entreprises de télécommunications œuvrant en RDC sont respectueuses des lois et règlements du pays ou elles opèrent. « Elles souscrivent depuis 2012 au contrôle des flux téléphoniques défini par l’Autorité de régulation de la poste et de télécommunications du Congo (ARPTC).

Les opérateurs sont, soit contrôles ou mis en contact avec de prestataires du gouvernement en matière sans aucune réticence», précise la même source. Le communique soutient que les équipements des prestataires de régulation sont directement connectes aux différents réseaux des opérateurs de télécoms. Les opérateurs de ce secteur déclarent la totalité des flux de services de téléphonie mobile tel que prescrit par la loi, soulignant que les entreprises de télécommunications de la RDC portent la réputation de grands groupes internationaux qu'elles représentent.

A ce titre, elles se soumettent régulièrement aux audits, tant au niveau national qu’international, parce que régies par des normes de gouvernance et d’éthique répondant aux contraintes des entreprises cotées en bourses. Les entreprises de télécommunications rappellent leur engagement citoyen, celui de continuer à œuvrer pour le développement socio-économique de la RDC et au bénéfice des abonnes ainsi que de toutes les parties prenantes étatiques ou privées. Le communique rappelle que la RDC avait pris la résolution de mettre en place un nouveau « système de contrôle des flux téléphoniques des réseaux des opérateurs des télécommunications.

A cet effet, un contrat de partenariat a été signe depuis janvier 2018 entre la RDC, à travers le ministère des PT-NTI et la société « African General Investment Limited (AGI)». Ce contrat donne l’exclusivité pendant 10 ans à « AGI» de contrôler de manière durable et permanente- le volume des SMS émis et reçus, le volume de data déclaré par les opérateurs Telecoms pour mieux répondre aux exigences de la RDC.

ACP 


(TN/TH/Yes)